Quand j'avais la vingtaine, je travaillais dans la ferme où étaient les chevaux et les attelages pour le cinéma. Il y avait un beauceron que j'adorais. Si j'étais seule à la ferme il était systématiquement entre moi et toute personne, même connue, qui venait, sans aucune agressivité mais "on sait jamais au cas où". C'est une attitude de prévention qu'on retrouve beaucoup chez les bergers.