Absolument d'accord...
Ca me trotte d'ailleurs...
Parce c'est comme ça depuis ouh au moins 40 ans car je me souviens d'une crème contre les irritations pour humains qui en changeant de nom et en devenant à usage vétérinaire augmentait son prix ?????
Et c'est encore le cas visiblement pour ces comprimés......
Donc, quand c'est un tour de passe passe, la recherche ne coûte rien c'est simplement le packaging et le réseau qui changent......donc, les labos pharmaceutiques nous prennent pour des moutons à tondre.......
Lorsque les brevets tombent dans le domaine public, les consommateurs devraient être informés par leurs médecins afin de payer leurs médicaments au prix de la fabrication !
Par ex. (à suivre pour 2008 et .... ) :
L'année 2007 s'annonce encore comme un bon cru en France pour les fabricants de génériques
21/08/07 - Face à la pression des gouvernements occidentaux pour limiter les dépenses de santé, la consommation de génériques explose dans les pays industrialisés. Les fabricants de génériques s'affrontent pour s'emparer du marché juteux de la copie légale de médicaments. En 2007, de nombreux brevets passent dans le domaine public en France, représentant un chiffre d'affaires estimé à 760 millions d'euros. Une aubaine pour une douzaine d'acteurs. Après les brevets de l'antiémétique Zophren (ondansetron) de GSK et de l'antifongique Triflucan (fluconazole) de Pfizer, tombés dans le domaine public en mars, c'était au tour de l'inhibiteur de l'enzyme de conversion Cibacene (benazepril) de Novartis le 30 juin dernier. Mais l'été 2007 se révèle très riche en expirations de brevets avec pas moins de cinq médicaments. Le 31 juillet, l'antibiotique Oroken (cefixime) de Bellon, suivi par un autre antibiotique, l'Orelox (cefpodoxime) de Sanofi-Aventis, le 2 août. Avec un chiffre d'affaires de 103 millions d'euros en 2006, c'est une perte importante pour le laboratoire français mais une expiration très attendue par l'Assurance maladie. A lui seul, l'Orelox représente 16 % des dépenses d'antibiotiques prescrits dans les infections ORL et respiratoires dans notre pays. Les 6 et 8 août, c'est au tour de deux antifongiques Lamisil (terbinafine) de Novartis (81,9 millions d'euros de CA 2006) et le Loceryl (amorolfine) de Galderma. Enfin, le 21 août, l'inhibiteur calcique Amlor (amlodipine) de Pfizer (CA 2006 de 123,5 millions d'euros). Deux autres chutes de brevet interviendront avant la fin de l'année : le neuroleptique Risperdal (risperidone) de Johnson&Johnson, le 8 décembre, et l'antiulcéreux Lanzor (Lansoprazole) de Sanofi-Aventis, le 12 décembre. L'année 2008 sera également intéressante avec l'expiration de brevets importants tels que ceux de l'antidépresseur Effexor de Wyeth, l'anticancéreux Cacodex d'AstraZeneca, les traitements contre l'hypercholestérolémie Fractal et Lescol, respectivement détenus par les laboratoires Pierre Fabre et Novartis. Ensuite, les expirations de brevets attendues en France entre 2008 et 2012 représentent une manne potentielle de 4,3 milliards d'euros de chiffre d'affaires, selon le numéro un mondial des génériques, l'israélien Teva.