Les animaux sont des éponges et ressentent notre joie, notre peine. Tout comme les humains, ils sont affectés par la disparition de l'un des leurs. Je m'en rends compte ici depuis le départ de Galopin et la semaine suivante celui de Délia. Chez Mimidoscar, deux sur quatre sont partis : cela fait une énorme différence et Vidocq ne doit pas comprendre pourquoi Cerise et Chaussette ne sont plus là. Il faut du temps pour qu'ils reprennent un autre rythme et il faut essayer de les distraire. Cette promenade a dû faire le plus grand bien à tout le monde. Dur, dur de les perdre mais il faut aller de l'avant, ne serait-ce que pour ceux qui nous accompagnent. Vidocq est en bonne santé et va repartir "d'une bonne patte", il lui faut un peu de temps.