Il vaut mieux être en effet très prudent. Le plus important c'est Jayron. Mais je ne comprends pas qu'on préfère faire souffrir un animal plutôt que de le placer. On ne peut en déduire qu'ils ne l'ont jamais aimé. Pauvre pépère, j'espère qu'il n'a pas vécu 11 ans dans cette misère. A t-il seulement connu l'amour et la tendresse ? Merci Sandrine de l'avoir sorti de son enfer. Il va maintenant goûter au paradis. Je t'envoie des tonnes d'ondes positives Jayron. Tu n'es plus tout seul, abandonné. bonhomme